C’est le patient que l’on guérit, pas sa maladie…

Médecine de terrain et de prévention par excellence, l’homéopathie vise avant tout la guérison du patient et non pas uniquement une suppression de ses symptômes. On ne peut pas espérer guérir un patient si on « bricole » ses symptômes en les supprimant.

Par exemple, supprimer des verrues en les brûlant ne va en rien modifier le terrain qui a permis leur apparition. La seule guérison possible sera donc de modifier le terrain permettant l’émergence de ce type d’excroissance pathologique.

Voici une liste non-exhaustive de pathologies sur lesquelles l’homéopathie a des effets largement démontrés en clinique :

  • traitement des maladies chroniques
  • traitement des maladies aiguës
  • traitement de troubles psychologiques et émotionnels : peurs, angoisses, troubles suite d’abus sexuels, troubles suite de violences, deuils, dépression, stress, tendances suicidaires, boulimie, anorexie, troubles du sommeil, etc.
  • drainage de vaccins ou de médicaments et levée des barrages qui en découlent
  • troubles fonctionnels : oculaires, auditifs, respiratoires, digestifs, cardiaques, musculaires, cutanés, rénaux, génitaux, nerveux, etc.
  • pathologies liées au système immunitaire : allergies, rhume des foins, maladies auto-immunes, etc.
  • traumatismes osseux, musculaires, tendineux
  • préparation et suite d’opération
  • cas aigus touchants la sphère O.R.L. : rhume, sinusite, bronchite, angine, etc.
  • soins palliatifs dans le cadre de pathologies lourdes et des effets secondaires des traitements s’y rattachant : SIDA, cancer, chimiothérapies, etc.
  • maladies dégénératives (palliatif) : maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer, sclérose en plaques, etc.