Souffrez-vous d'une fatigue ou d’un surmenage chronique ?

Identifiez vos différentes sources de stress

Le stress et les différents symptômes qui lui sont associés tels qu’insomnie, fatigue chronique, irritabilité, problèmes digestifs, baisse immunitaire, etc. sont les signes d’une décompensation issue d’un problème de surcharge physique et émotionnelle.

Si, suite à une courte période de stress durant laquelle l’adrénaline a joué son rôle de soutient métabolique, suit une période de stress prolongée, c’est alors le cortisol (hormone sécrétée de par les surrénales) qui va prendre le relais. Si cette période de stress dure trop longtemps il s’ensuit alors un phénomène d’effondrement du taux de cortisol engendrant un déséquilibre hormonal et immunitaire aboutissant in fine à un syndrome de fatigue chronique, à des insomnies et à un cortège de symptômes dégradant rapidement la qualité de vie du sujet.

Adrénaline = courbe du stress aigu Cortisol = courbe du surmenage chronique

La capacité de résistance à une période plus ou moins longue de stress va donc dépendre de plusieurs facteurs et parmi eux on peut en citer deux qui sont essentiels à savoir :

la résistance émotionnelle

les ressources métaboliques

Comment renforcer ces deux piliers ?

  • par une redéfinition de ses priorités de vie
  • par de la relaxation et de la méditation
  • par une activité physique régulière et modérée
  • par une nourriture saine et équilibrée
  • par un apport de nutriments et micro nutriments adaptés à ses besoins spécifiques (oligo-éléments, vitamines, phyto, etc.)

 

La combinaison de différentes approches thérapeutiques va permettre de travailler sur ces différents points de manière spécifique et en synergique.

C’est un outil qui va vous permettre de vous recentrer, de réguler vos émotions et votre équilibre hormonal. Ce concept a été publié en 2003 par le Dr David Servan-Schreiber dans son livre « Guérir » sous l’intitulé « Guérir le stress, l’anxiété, la dépression sans médicaments ni psychanalyse ».
Ce concept de cohérence cardiaque est apparu aux Etats-Unis il y a une dizaine d’années, lorsque son impact bénéfique sur la gestion du stress a été mis en lumière par l’Institut HeartMath.
Il a notamment été montré que cette méthode a de nombreux bénéfices sur la santé, un rôle important dans la prévention des maladies cardio-vasculaires et permettait de s’affranchir des médicaments types anxiolytiques ou antidépresseurs.

Cette technique simple donne d’excellents résultats mais nécessite un entraînement régulier afin d’en tirer un maximum de bénéfices. Pour s’y aider, il est maintenant possible d’utiliser des logiciels dits de « biofeedback » . Le principe est simple: un capteur relié à votre index collecte des données biométriques (battements cardiaques par exemple); ces données sont ensuite traduites par le logiciel sous une forme graphique facilement interprétable.
Le coeur est un organe autonome qui sécrète différentes hormones, telles que l’ANF et l’ocytocine, qui bloquent les hormones du stress, stimulent les organes reproducteurs et interagissent avec le système immunitaire. Le cœur agit alors comme un oscillateur puissant qui entraîne tous les autres systèmes du corps et bien sûr le cerveau.
Les neurosciences ont récemment mis en évidence que le coeur possède son propre cerveau, un système nerveux indépendant possédant environ 40 000 neurones comme ceux que l’on trouve dans les centres corticaux. Il les utilise pour transmettre l’information au cerveau et influencer les réactions de l’amygdale, siège de nos émotions.

Le cœur entretient une relation privilégiée avec notre cerveau limbique qui contrôle notre équilibre physiologique. Elle se concrétise par le biais du système nerveux autonome (SNA) constitué de 2 branches :

  • le système nerveux sympathique , associé aux réactions de « combat / fuite », par une accélération du rythme cardiaque, la contraction des vaisseaux sanguins, et stimulant les hormones du stress (comme la cortisol).
  • le système nerveux parasympathique , associé aux réactions de calme et de relaxation, apaisant les battements cardiaques.

Cette relation est reflétée par un indicateur clé : la variabilité du rythme cardiaque, qui mesure l’intervalle de temps entre deux battements. La variabilité du rythme cardiaque est matérialisée dans deux états : chaotique (aléatoire), lorsque nous sommes sous l’influence du stress, de l’anxiété, de la colère ou alors cohérent (ordonné), lorsque nous ressentons des émotions positives, telles que le bien-être, la compassion ou la reconnaissance…
Le rythme cardiaque reflète donc notre état émotionnel, qui en affecte à son tour les aptitudes du cerveau, à organiser l’information, prendre une décision, résoudre un problème ou encore exprimer sa créativité. S’entraîner à générer en soi cette cohérence est au cœur du processus de gestion du stress.

Retrouver sa cohérence cardiaque est synonyme d’effets positifs. D’abord c’est un moyen de maîtriser son stress et son anxiété. Ensuite, l’impact physiologique se traduit par deux aspects :

  • Une augmentation de la sécrétion de la DHEA, plus connue comme l’hormone de jouvence ;
  • Un renouvellement accéléré des immunoglobulines A (IgA), notre premier rempart contre les infections.

En rééquilibrant ainsi les relations cœur-cerveau, nous instaurons un climat de coopération entre les fonctions émotionnelles et les fonctions cognitives qui participent à notre confort et notre bien-être.
Notre humeur s’en trouve alors modifiée et nous pouvons alors mieux guérir d’une dépression par exemple. Notre vie sociale aussi s’en trouve améliorée ; nous sommes plus disponible et donc plus à l’écoute de l’autre, notre implication et notre productivité s’accroissent.

Démo vidéo

Extraits tirés du site: www.capitecorpus.com